Ovaj članak na francuskom jest 14. poglavlje
disertacije Ivana Merza o Utjecaju liturgije na francuske književnike. Članak
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I - EMILE BAUMANN qui étudie comme PAUL BOURGET la répercussion
des problemes religieux dans les familles françaises, réserve a la Liturgie
dans ses romans, une place considérable. Il y dépasse de beaucoup l'illustre
auteur du Divorce et du Démon de Midi parce qu'il s'attache moins a l'analyse
minutieuse des divers états d'âmes dans laquelle excelle PAUL BOURGET. Le
propre de son talent a lui est de témoigner plus d'intéret aux manifestations
extérieures de la vie. S'il est si attiré par les dehors, il paraît naturel
qu'il doive s'attacher avec plus de persévérance aux descriptions de cérémonies
religieuses presque completement négligées par l'éminent maître du roman
psychologique contemporain. Une autre raison nous explique qu'il y ait un
plus grand nombre de descriptions liturgiques chez EMILE BAUMANN que chez
PAUL BOURGET. Celui-ci met le plus souvent en scene des personnages qui
ont perdu tout contact vivant avec la foi religieuse tandis que l'autre
se complaît a nous introduire dans l'intérieur des familles catholiques
ou les traditions liturgiques sont encore conservées fraîches et vibrantes.
La sympathie naturelle qu'éprouve EMILE BAUMANN pour le déploiement de cérémonies
splendides le distingue a nos yeux de son illustre contemporain.
II - Nous venons de le relever que EMILE BAUMANN a consacré dans ses romans
une large place a la Liturgie. Cependant, on ne pourrait pas les englober,
comme ceux de HUYSMANS, sous le titre général de "romans liturgiques".
Il existe en effet entre HUYSMANS et notre auteur, a ce point de vue, un
abîme béant. Dans Le Bapteme de Pauline Ardel (1913) le passage suivant
indique d'une maniere exacte et frappante en quoi il faut faire le départ
entre ces deux écrivains:
"Il l'engagea, puisqu'elle savait un peu de latin, a lire dans la langue
de l'Eglise les Psaumes, les Evangiles, et le Rituale Romanum ou de merveilleuses
prieres lui éclairciraient le sens naturel de la vie présente. Il l'exhorta
plus encore a visiter les pauvres". (p.301).
HUYSMANS aurait agi dans ce cas tout autrement; il l'eut initié a la Liturgie
pour ue la valeur artistique de celle-ci ramenât la jeune fille a la foi.
E. BAUMANN se sert de la Liturgie comme de tout autre trésor philosophique
dans lequel on peut puiser abondamment les solutions des mysteres les plus
poignants de la vie présente. Aussi, exhorte-t-il la jeune fille qui est
tourmentée par le probleme de la vie, a visiter les pauvres, ce que HUYSMANS
aurait sans doute oublié de faire.
Cependant, nous avons eu l'occasion de faire connaissance d'un autre écrivain
dont la conception liturgique se rapproche sur beaucoup de points de celle
d' EMILE BAUMANN : c'est LEON BLOY. De meme que cet étrange écrivain attacha
la plus grande importance au contact continu avec les pauvres, de meme,
il n'a pas permis que la Liturgie prit le pas dans la vie des chrétiens
sur les autres manifestations de la religion. Il lui a donné la place qui
lui convient entre tant d'autres dans la vie active.
III - Plus nous progressons dans nos analyses, plus nous sentons de difficultés
a assigner a chaque livre sa véritable place dans le courant liturgique.
Si nous avons rattaché les romans de E. BAUMANN a la lignée qui descend
tout droit de LEON BLOY en laissant a part les oeuvres liturgiques de HUYSMANS,
il y a cependant dans ses oeuvres un élément particulier qui leur est commun
avec la conception liturgique de M. BARRES, a savoir :
"Mais Séverin, a l'entendre" (chanter le Magnificat par plusieurs
milliers de voix de paysans bretons) "tressaillit d'un attendrissement
qui semblait lui venir du fond des siecles ; et tous autour
de lui, étaient émus. Nul hymne, comme ce cantique, ne saurait concentrer
en quelques notes l'etre immémorial d'un pays...(Le fer
sur l'Enclume, p.295-297).
En lisant ce passage, nous aurions cru avoir sous nos yeux quelque chose
de la meilleure encre de l'éminent nationaliste français. Nous dresserons
un peu plus loin la comparaison entre ces deux écrivains.
IV - Dans le creuset de l'oeuvre de E. BAUMANN s'entrecroisent
donc les courants liturgiques les plus divers. On y trouve quelque chose
de ce qui constitue l'élément essentiel de la conception liturgique des
BLOY, des HUYSMANS, et des BARRES. Si nous ajoutions aux romans de notre
écrivain sa vision apocalyptique qu'est
La Paix du Septième Jour,
(1918) nous serions tenté de ranger l’éminente écrivain catholique
à côté de ces auteurs qui ont écrit
Là-Bas,
La Colline
inspirée et
Le Démon de Midi. Tandis que nous avons pu entrevoir
la place éminente qu'occupent dans ces trois romans les contrefaçons et
les parodies de la Liturgie, nous rencontrons dans
La Paix du Septième
Jour, tout le contraire. Les visions, les idéalisations de la Liturgie
y tiennent la première place; elles constituent en effet le panneau
droit de ce triptyque, dont le centre représente les descriptions réelles
et qui nous montre dans sa partie gauche les parodies et les contrefaçons
de la Liturgie.
V - Il ne nous reste à présent qu'à étudier par des
faits les assertions que nous venons d'émettre et de les développer plus
au long. E. BAUMANN s'intéresse à toutes les cérémonies religieuses.
Il nous décrit des Messes de Communion (
Immolé, p.143-145), des Mariages
(
Fosse aux lions), des Confessions (
Fer sur l'Enclume), des
Baptêmes (
Baptême de Pauline Ardel, p.337-343). Nous
assistons à l'Extrême Onction (ibid p.262),
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à une Prise d'habit (ibid., p.168-174) et à plusieurs cérémonies
rustiques (
Fer sur l'Enclume, p.293-297). La poésie des Psaumes (ibid.,
p.178-179), de De Profundis (
Immolé, p.105,
Paix du Septième
Jour, p.163), de la Messe des Trépassés (
Fer sur l'Enclume, p.244-245
et 283-285), du Dies irae (
Paix du Septième Jour, p.22) et
du Bréviaire (ibid., p.139-140; Office du 8 décembre, 6° leçon) arrache
souvent à ses lèvres des cris d'enthousiasme. VI - La beauté
esthétique du cérémonial l'attire tout d'abord:
"Daniel ne priait pas, il jouissait éperdument
de cette ordonnance
sacrée; une telle ferveur éblouie noyait son coeur et ses sens"
(
Immolé, p.143-144).
Aussi lui rappelle-t-elle les nombreux vitraux des églises françaises qui
n'ont pas cessé de réjouir les connaisseurs en matière d'Art.
"Et tous ces personnages étaient immobiles, au repos tel que des figures
de Saints disposées sur un vitrail" (
Immolé, p.143-144).
C'est la Liturgie qui fait à son avis les délices de tous les Français
et qui joue en rôle incontestable dans l'éducation de leur goût. Les
textes eux-mêmes attirent notre écrivain par leur valeur artistique:
"... ensemble, à pleine voix, ils récitaient les litanies de
la Vierge, en s'arrêtant sur chaque invocation afin
d'en pénétrer
la splendeur... son poignant espoir éclatant transfiguré dans la
gerbe
brûlante des symboles..." (ibid., p.287).
Mais les descriptions de cérémonies l'emportent par le nombre et la beauté
sur les passages qui s'attachent tout simplement à cette analyse
littéraire dans laquelle excellait HUYSMANS: "Les masses puissantes
de la maîtrise, déroulant le Credo, ralentissaient leur psalmodie sur l
'Homo
factus est; toutes les têtes s'inclinaient. Son regard s'élança
vers le choeur
aussi merveilleux qu'une station angélique du Purgatoire
de Dante. Au-delà du maître-autel, les surplis des chantres s'enflaient
comme une mêlée d'ailes ou une corbeille de lys; les tuyaux de l'orgue
miroitaient. Devant sur le tapis, clair et pâle où les voraces du
transept étendaient de vagues feux d'améthyste, sept officiants étaient
assis de fronts, couverts de chasubles d'or; derrière eux, se tenaient
sept porte-cierges; plus loin sept autres officiants en chasubles d'or aussi;
puis les cardinaux vis-à-vis de leur prie-Dieu; puis sur les côtés,
les chanoines dans leurs stalles, l'hermine aux épaules, les évêques
violets, les moines en robe blanche ou noire, les prêtres et les clercs;
enfin, à droite, sous un dais écarlate, le cardinal archevêque,
entre deux autres prélats, présidait, penchant sa tête coiffée de
la mitre". (
Immolé,p.143-144).
En revanche, E. BAUMANN amène souvent de telles scènes où
la Liturgie explique aux héros de ces romans leurs propres sentiments mystérieux
dont ils ne peuvent pas se rendre compte.
C'est ainsi que l’incroyant Séverin dans
Le Fer sur l'Enclume,
après avoir commis l'adultère, sent des remords et ne peut
s'expliquer où se trouve l'origine de ces sentiments. Il ouvre comme
par hasard l'office des Morts où il lit : "Est-ce que tu as
des yeux de Chair ? Est-ce que tu vois comme un homme voit, pour que tu
recherches son iniquité et que tu contes mon péché" (p.179). Le mystère
fut ainsi éclairci.
Même en face des spectacles ravissants de la nature, cet
écrivain ne peut se défendre de recourir à la poésie des Psaumes
qui exprime d'une manière excellente ces sortes d'enthousiasme.
"Je me souviens d'une parole d'un psaume: "La nuit
est mon illumination dans mes délices". L'homme qui chante ce verset
de volupté sainte avait comme moi, sur le coeur, des naufrages pesants.
Eut-il tort, quand même de s'enivrer d'une nuit telle que cette nuit?"
(
Fer sur l'Enclume, p.232-233).
Les problèmes philosophiques les plus poignants qui s'imposent
à tout homme qui pense, trouvent leur solution exacte dans les textes
liturgiques. Séverin qui se sent oppressé par le poids accablant des remords
pour avoir commis l'adultère et donné la vie à un enfant,
trouve dans la Liturgie l'assurance irréfutable que son crime lui sera pardonné:
"
David genuit Salomonem ex quae fuit Uriae. De celle
qui fut à Urie. Le fruit d'un adultère et d'un homicide parmi
les ancêtres du Sauveur..." (p.284-285).
Si donc la Rédemption pouvait élaborer à travers "la
douleur et le péché des âges", il est d'autant plus sûr qu'il
bénéficiera d'un grand pardon. Aussi un verset d'un psaume a-t-il expliqué
à BAUMANN les premiers insuccès des armes françaises:
"Ostendisti
populo tuo dura; vino compunctionis potuisti nos.
Ce vin de componction,
precoce vendange de l’année j'en aurais longtemps au fond de la gorge l'aigreur
amère. Cependant, je ne puis désespérer. Il me semble que si je croyais
un seul instant à la défaite, j'en serais la cause." (
Paix
du Septième Jour, p.93; V.e.
Fer sur l'Enclume, p.245.)
Les cataclysmes de l'univers à la fin des temps est d'après
lui un fait incontestable parce que la séquence
Dies irae l'affirme
impérieusement: "Une strophe naïve du
Dies irae transcrit
cette angoisse:
cuncta stricte discussurus. La planète sous
la chute des astres sera fracassée. Dieu la mettra au rebut comme un potier
balaye en maugréant les tessons d'un argile qui éclate au feu" (ibid.,
p.22).
VII - La vie intérieure de chaque homme qui subit l'empire de
la Liturgie se transforme nécessairement: "Devant cette majesté des
rites, il oubliait la misère de ses convoitises, une force immuable
purificatrice le sollicitait..." (
Immolé, p.143-145).
"... il lui semblait (ensuite pendant l’Introit) que l'homme
impur allait mourir en lui, la vieille argile de sa vie de péché se dissolvait...
Ses incertitudes d'autrefois, la cécité de ces convoitises se découvraient
si lointaines et misérables qu'il ne pouvait plus les comprendre...” (ibid.,
p.273-277).
"Xavier regardant la Vierge au diadème d'Art, il
la supplia de le faire
"doux et humble" et d'affermir sa
route. Des larmes humectaient ses yeux..." (
Fer sur l'Enclume,
p.293-297).
Même les incroyants, s'ils assistent aux cérémonies touchantes
comme par exemple à la Prise d'habit, s'en vont avec l'âme remuée
de fond en comble: "Cette cérémonie simple et déchirante bouleversa
Pauline; c'était un peu comme si elle eut assisté à un holocauste
sanglant" (
Baptême de Pauline Ardel, p.170).
E. BAUMANN constate donc que la Liturgie renferme cette puissance
d'opérer des conversions que les écrivains français d’aujourd’hui et des
siècles précédents ont noté si souvent (LANCELOT, LESAGE, HUYSMANS...)
(a)
Même des provinces entières où la vie liturgique
est florissante atteignent à un haut degré d'éducation morale :
"La source des vertus de notre race, elle est ici
, dans
cette formation liturgique et ce pli d'obéissance. La moelle de charité
que nos hommes ont dans les os, c'est de l'Eglise qu'ils la tiennent...
Avant le Salut, lorsque s'enfla, clamé par trente mille voix, l
'Ave maris
stella, Albert et Xavier chantèrent eux-mêmes... L'alacrité
des strophes se martela, formidable comme le chant de guerre d'une croisade..."
(
Fer sur l'Enclume, p.293-297).
La fusion des classes et la conscience nationale qui s'y manifestent
visiblement ne doivent leur origine qu'aux solennelles cérémonies populaires:
"Et cependant la Messe du Pardon" -c'est le nom de l'endroit-
"signifiait, pour leurs âmes, plus qu'une cérémonie paroissiale...
cette journée
refaisait en eux l'unanimité d'un peuple" (
Fer
sur l'Enclume, p.284). C'est le même fait que TAINE a relevé dans
les
Origines pour le Moyen-Age, et que HUYSMANS a constaté à
l'occasion de son pèlerinage à Lourdes.
VIII - Cette transformation des âmes, comment s'opère-t-elle
? E. BAUMANN nous l'explique et nous le montre en nous faisant entrevoir
les coins les plus reculés de la vie intérieure de ceux qui en subissent
l'influence:
(a) Le baptème de Pauline Ardel, p.301
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"Pendant que le canon se développait avec la sérénité d'une
Immolation, il
s'efforçait de participer à la douleur infinie
de la victime, comme s'il eut assisté à sa réelle agonie, et que
l'Homme-Dieu, là, au-dessus de l'autel, se fut vraiment laissé clouer
sur un gibet, pour que lui, Daniel, ne fut pas cloué en réparation de ses
fautes..." (
Immolé, p.273-277).
Cependant, le point central de cette transformation de l'homme entier
en participation concrète avec la Liturgie, c'est l'acte de la Sainte-Communion:
"Une véritable faim spirituelle l'agenouillait à
la table eucharistique. Il n'éprouvait point ce qu'il avait cru autrefois
un indice de haute ferveur, le transissement d'une attente, d'un désir presque
douloureux. Humble, mais fort d'une confiance virile, il s'approchait; la
confondante certitude que Dieu lui-même vivait en sa poitrine, mêlé
à son sang, emportait son coeur au-delà des apparences, le
fondait comme une cire au milieu d'un brasier. Il devenait, pour quelques
instants, selon le mot incomparable de l'Imitation, tout entier de feu,
totus ignitus (
Immolé, p.273-277)
(40).
Les nombreuses méditations liturgiques que nous trouvons parsemées
dans l'oeuvre de E. BAUMANN sont un document historique d'une valeur inappréciable,
pour se rendre compte de l'état de la psychologie religieuse, en France,
à une certaine époque et dans un milieu déterminé. Elles nous sont
présentées avec une justesse et avec un fini surprenant. En voici une des
plus belles:
"Au moment où le prêtre offrait sur la patène
le pain qu'il allait consacrer, il (Daniel) proférait, en même temps
que lui, avec une épouvante respectueuse, les mots d'oblation. Depuis vingt
siècles bientôt, le mystère du Pain, le mystère de
l'Eau et du Vin mélangés se répétaient devant les millions de tabernacles,
et actuellement, des messes étant dites partout où le Christ est
prêché, c'est-à-dire dans la plénitude du monde habitable;
il n'était pas une minute de la durée, pas un point du globe tourné vers
le soleil montant que ne remplit la Cène mangée et bue selon les
rites. L'éternité de la Passion s'accomplissait dans la série des heures
par cette infatigable perpétuité des holocaustes; toute la terre était ceinte
d'un seul torrent sacré, le sang du Christ courait dans ses veines, si profondément,
que parfois, ingrate, elle ne le sentait plus circuler. (
Immolé,
p.273-277; V.e. Ibid.: "Il admirait comme une chose... clarifiés.)
Le caractère d'un simple commentaire que ces meditations
adoptent assez souvent ne ternit pas le moins du monde la splendeur de leur
beauté engageante et caressante. Voici ce C'est qu'il pensait ainsi pendant
le chant du
Magnificat:
"Voilà vingt siècles qu'une pauvre Juive obscure
prophétisa : ‘Toutes les générations me diront bienheureuse...’ Dans l'histoire
humaine, il n'y a rien eu, il n'y aura jamais rien de plus grand".
(
Fer sur l'Enclume, p.293-297; V.e. La scène du baptême
dans le
Baptême de Pauline Ardel, p.337-343.)
IX - Dans l'aperçu général que nous avons donné sur E. BAUMANN,
nous avons fait allusion aux diverses manifestations de l'influence liturgique
sur le peuple français. Ce romancier nous introduit dans l'intérieur des
appartements de la bourgeoisie française où nous assistons à
la récitation en commun des Psaumes et des Litanies (
Immolé, p.105
et 287). Même ceux qui ne possèdent aucune conviction religieuse
doivent se heurter dans leur vie à des manifestations d'ordre religieux:
le premier choc dégage en eux des sensations d'ennui ou “de sinistres idées
mortuaires..." (
Baptême, p.7 et 14). S'ils ont l'occasion
de s'initier plus profondément à la science liturgique, tout change.
Nous trouvons un exemple frappant de cette évolution de la conception liturgique
chez Pauline Ardel qui s'élève d'une ignorance complète à
une compréhension très étendue de la Liturgie.
X - Pour ce qui est du peuple de la campagne, cela varie d'après
les régions. Les femmes chantent ainsi en Bretagne: "Sans paroissien,
les versets des psaumes, alternativement avec le choeur des prêtres
et des paysans..." (
Fer sur l'Enclume, p.293-297). “Elles qui
étaient dressées à la
psalmodie latine des liturgies entonnaient
en mesure les versets du Gloria..." (ibid., p.283-284).
L'enthousiasme liturgique y submerge "leurs âmes comme une
onde purificatrice" (ibid.) et concentre "en quelques notes l'être
immémorial d'un pays" (ibid.). La Liturgie appartient au trésor national
du peuple français, c'est l'idée déjà exprimée par MAURICE BARRES,
parce que celui-ci épanche à l'occasion des cérémonies simples ou
solennelles tous son amour avec ses souffrances et ses joies:
"Ils y venaient en quémandeurs, tendre leurs mains pleines
de grâces, ouvertes dans un lien de miracle, pour une pluie de bénédictions.
Ils présentaient en offrande à la Vierge du Folgoat la Bretagne humblement
dévote..." (ibid., p.284).
Ou bien : "Telle est, en Bretagne, la force du Culte des
trépassés que les mécréants eux-mêmes n'éludent pas une messe chantée
à la mémoire d'un camarade malheureux; et le patron ici n'est plus
le patron, mais le père..." (ibid., p.244).
La Liturgie s'est frayée le chemin jusqu'aux soubassements les
plus profonds de leurs âmes, en sorte que des réminiscences liturgiques
surgissent même chez ceux qui sont loin de toute vie religieuse. C'est
ainsi que Séverin dit tout spontanément, (
Fer sur l'Enclume, p.56)
se trouvant en face des naufragés : "Requiescant in pace" (V.e.
p.178-179 sur le
De Profundis).
XI - La Liturgie occupant donc une place si large dans
les oeuvres de cet écrivain et par conséquent dans sa vie intérieure même,
il n'est pas étonnant de rencontrer dans son style de nombreuses allusions
aux textes sacrés ou aux diverses cérémonies. Il compare ainsi les "multiples
bruits des ateliers"... à une "musique paisible, une liturgie
du travail" (
Fer sur l'Enclume, p.311).
La flèche d'une église se distingue "d'une fierté
liturgique et féodale telle qu'un Magnificat élancé vers le firmament"
(ibid, p.279-280)
(a). Le parler d'un prélat possédait des “intonations
de vieux chantre psalmodiant les Complies” (
Immolé, p.52). Certains
endroits ne sont autre chose que des expressions liturgiques condensées
ensemble qui s'efforcent d'exprimer en paroles ces manifestations de la
vie intérieure qui sont avant tout du ressort de la mystique:
"Ainsi mêlés à la terre et aux animaux sanctifiés,
les Bienheureux psalmodiaient leur contemplation et en même temps,
ils se recueillent devant
le visage du Seigneur" (Ps., 26,9).
"Qu'ils connaissent comme il les connaît, au centre de la volupté"
(Ps., 26,4) "qui les étreint et les emporte dans son gouffre
dévorant
(Ps., 55,7). “Ils jouissent et ils savent que leur jouissance n'aura point
de fin. Ils aiment plus encore qu'ils ne comprennent; leur désir de comprendre
et d'aimer à mesure qu'il se rassasie, est plus immense" (
Paix
du Septième Jour, p.256).
(b) XII - Tout ce que nous savons, relevé jusqu'à présent
chez EMILE BAUMANN, se trouve plus ou moins développé chez nombre d'autres
écrivains français. Il faut cependant discerner chez lui un élément que
nous aurions toute la peine du monde à trouver ailleurs en France
(c). C'est l'idéalisation des motifs liturgiques. Le livre
La
Paix du Septième Jour (1918) qui excelle à évoquer des
visions liturgiques -quoiqu'il ne soit pas un roman, et qu'il faille plutôt
le placer dans les confins de la théologie, comporte ceci d'intéressant
qu'il nous donne plus d'indications précises sur l'étendue des connaissances
liturgiques de son écrivain, que ne le font ses autres oeuvres:
"Les fidèles, d'une seule voix, ont entonné
l'Ave verum corpus; les plus distants dans l'immense cortège
contemplent à la fois les Espèces éblouissantes et Jésus,
tel qu'à l'heure de la Cène, mais à une visible gloire.
Sa chape d'officiant est rouge, comme trempée dans la cuve des martyrs;
une lumière, dont mourraient, s'ils pouvaient l'atteindre, des yeux
impurs, ceint ses longs cheveux d'une couronne faite d'épines embrasées;
les anges montent et descendent au-dessus de sa tête; Saint-Michel
incline vers l'hostie, à la façon d'un dais, son étendard où
tremblent des fleurs de lys et d'or fervent: et, derrière lui, cheminent
vingt quatre vieillards, balançant vingt quatre encensoirs remplis du parfum
des oraisons" (p.234; V.e. p.210-235 et 255).
La beauté extraordinaire et insoupçonnée des passages qui y sont
parsemés à profusion n'aurait jamais pu être inventée si E.
BAUMANN
(a) V.e. Baptème de Pauline Ardel, p.177 et
le Fer sur l'Enclume, p.256).
(b) Ces nombreuses allusions à des Psaumes rappellent
peut-être involontairement les Paroles de Dieu d'E. Hello).
(c) On peut en découvrir des traces chez Dante et chez
Benson (Maitre de la Terre).
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n'avait pas trouvé la matière première dans les triomphants
offices dominicaux, dans les chants sacrés et dans les arts religieux qu'on
cultive actuellement en France avec beaucoup d'amour et une véritable intelligence.
XIII - Exception faite de HUYSMANS, on ne trouve en effet, en
France, aucun romancier qui ait possédé des connaissances liturgiques si
étendues. Elles portent sur le cérémonial comme sur les textes sacrés; les
commentaires scientifiques alternent dans ses oeuvres avec des élans lyriques
: tous ensembles, ils forment un hymne unique à la Liturgie (a).
Les cérémonies religieuses en pleine nature (Fer sur l'Enclume, p.293-297)
et le Te Deum chantés par des armées victorieuses (Baptême
de Pauline Ardel, p.97) auraient été selon le goût de CHATEAUBRIAND
(Génie). Nos pensées se tournent spontanément vers HUYSMANS quand
E. BAUMANN parle "des personnages immobiles tels que les figures de
saints disposées sur un vitrail"... ou s'il affirme que "l'humilité
grave" d'un "Sanctus en plein chant grégorien" est "appropriée
aux demi-ténèbres pénitentes de la cathédrale" (Immolé,
pp.143-145). Même la vision des cathédrales s'élançant dans les airs
semble être calquée sur HUYSMANS (b)
XIV - Il faut cependant faire le départ entre les conceptions
liturgiques de ces deux romanciers : ce procédé nous fera saisir au vif
l'essence même de l'individualité de E. BAUMANN , considérée au point
de vue liturgique. Daniel dans l' Immolé tâche d'adapter sa
vie intérieure à celle de la Liturgie: il fait au mois de Décembre
une neuvaine pour obtenir la guérison de sa mère. Nous ne trouvons
cependant dans toute cette analyse aucune mention de l'Avent quoiqu'il eut
paru nécessaire de nous dire quelle influence spéciale devait exercer sur
cette âme une pareille époque d'attente et d'espérance. En assistant à
la Messe de l'Immaculée Conception (p.143-145), Daniel se borne à
saisir les impressions extérieures sans prendre garde au texte de l'épître
ou des autres passages de cet office. BAUMANN en possédant des connaissances
liturgiques étendues, qui ne sont pas d'ailleurs si systématiques que celles
de HUYSMANS, n'a pas l'intuition artistique de ce dernier. Pour ses héros
et pour l'illustre écrivain lui-même, la Liturgie est moins un ensemble
d'une valeur artistique incontestable qu'un trésor de pensées profondes
qui nous expliquent les mystères de la vie et dirigent nos actions
dans la bonne voie. Rien d'étonnant que la vie religieuse de ses héros ne
concorde pas toujours avec l'Année liturgique. Quand il tire merveilleusement
parti des éléments philosophiques, il leur subordonne ses données esthétiques.
(a) V.e. La signification d'une Prise d'habit (Baptème
de Pauline Ardel, p.171); d'un baptème (ibid., p.337-344 et Paix
du Septième jour,p.17); de la parabole des Cinq Vierges sages...(Paix
du Septième jour, p.133-136), du Dies irae (ibid p.22-237), des Psaumes
(ibid p.163)...Les Bienheureux sur les prairies du ciel ne se conçoivent
pas chantant des cantiques plus beaux que les psaumes de triomphe, dans
la langue que le Verbe a sanctifié pour son Eglise éternellement.
(b) "...l'église dans les airs en un jet éperdu.."(Cathédrale,
p.216).
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Toutefois, nous pouvons nous rendre compte en étudiant attentivement
ses oeuvres d'une évolution qui s'était produite dans sa conception liturgique:
la différence entre l'intuition artistique de l'auteur de L'Immolé
et de celui de La Paix du Septième Jour est frappante. On
n'a qu'à comparer l'analyse de la vie des religieuses dans L'Immolé(273-277)
à la Parabole des cinq Vierges dans la Paix du Septième
Jour (130-136) pour nous convaincre que l'auteur a enrichi dans cet
intervalle de temps ses connaissances esthétiques de la Liturgie sans avoir
cessé de vouer son intérêt principal à sa signification philosophique.
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Prijevod članka na hrvatski
KATOLIČKA LITURGIJA
U DJELU EMILA BAUMANNA
I. - EMILE BAUMANN, koji poput PAUL BOURGET-a proučava odjek religioznih
problema u francuskim obiteljima, u svojim romanima rezervira Liturgiji
pozamašno mjesto. Pri tom nadaleko nadvisuje autora "Divorce"
i "Le Démon de Midi", jer se on manje predaje podrobnoj
analizi različitih stanja duša, u čemu je PAUL BOURGET odličan. Tipična
značajka njegovog talenta je veće zanimanje za vanjske manifestacije života.
Ako li je toliko privučen vanjštinom, čini mi se prirodno da se mora što
ustrajnije predati opisivanju vjerskih ceremonija koje je gotovo potpuno
zanemario izvanredni majstor suvremenog psihološkog romana. Još je jedan
razlog koji nam objašnjava da postoji mnogo veći broj liturgijskih opisa
kod EMILE BAUMANN-a nego kod PAUL BOURGET-a. BOURGET na scenu izvodi likove
koji su izgubili sav živi doticaj s religioznom vjerom, dok BAUMANN uživa
u tome da nas uvede u katoličke obitelji u kojima su se liturgijske tradicije
očuvale još svježe i pune života. Prirodna simpatija koju EMILE BAUMANN
izražava prema odvijanju sjajnih ceremonija razlikuje ga u našim očima od
njegovog sjajnog suvremenika.
II. - Upravo smo naglasili; EMILE BAUMANN je u svojim romanima posvetio
veliko mjesto Liturgiji. Međutim ne bi ih se smjelo, kao HUYSMANS-ove romane,
obuhvatiti općim imenom "liturgijski romani". Postoji zaista između
HUYSMANS-a i našega pisca u tom pogledu ogroman ponor. Čitamo u "Le
Bapteme de Pauline Ardel" (1913.) /Krštenje Pauline Ardel/
slijedeći odlomak koji posve točno i vrlo upadljivo pokazuje u čemu valja
razlikovati ta dva pisca:
"On ju je uputio, budući da je znala malo latinski, da na jeziku
Crkve čita Psalme, Evanđelja i Rituale Romanum gdje će joj predivne molitve
osvijetliti prirodni put sadašnjega života. Potaknuo ju je još više na pohađanje
siromašnih." (p. 301).
U tom slučaju HUYSMANS bi postupao posve drugačije: on bi je
uputio u Liturgiju da njezina umjetnička vrijednost dovede djevojku do vjere.
E. BAUMANN se služi Liturgijom kao svakom drugom filozofskom riznicom iz
koje se obilno mogu crpsti rješenja najpotresnijih misterija sadašnjega
života. Stoga on potiče djevojku, mučenu problemom života, da pohađa siromašne,
što bi HUYSMANS, bez sumnje, zaboravio učiniti.
Međutim imali smo prilike upoznati jednog drugog pisca čije se liturgijsko
shvaćanje u mnogim točkama približuje shvaćanju E. BAUMANN-a: to je LEON
BLOY. Budući da je taj čudni pisac dao najveću važnost neprekidnom doticaju
sa siromašnima, upravo tako nije dopustio da Liturgija bude ispred drugih
očitovanja religije u životu kršćana. On joj je u aktivnom životu dao
mjesto koje mu je najviše odgovaralo između toliko drugih.
III. - Što više napredujemo u svojim analizama, to više osjećamo poteškoće
u stavljanju svake knjige na njezino pravo mjesto u liturgijskom strujanju.
Ako smo romane E. BAUMANN-a pridružili nizu koji izravno potječe od LEON
BLOY-a, ostavljajući po strani HUYSMANS-ova liturgijska djela, ipak
u njegovim djelima postoji određeni elemenat koji im je zajednički s liturgijskim
shvaćanjem M. BARRÉS-a:
"A Sévérin, kad je to čuo" (kako nekoliko tisuća glasova
bretonskih seljaka pjeva Magnificat), "zadrhta od nekog ganuća
koje mu se činilo da dolazi iz pradavnih stoljeća; i sve oko njega
bijaše ganuto. Nijedna pjesma, kao ovaj hvalospjev ne bi mogao u nekoliko
nota zaokružiti pradavno postojanje jedne zemlje..." ("Fer
sur l'Enclume" - Željezo na nakovnju, pp. 295-297).
Čitajući taj odlomak, mogli bismo pomisliti da pred svojim očima
imamo nešto od najbolje tinte izvanrednog francuskog nacionalista. Malo
dalje ćemo usporediti ta dva pisca.
IV. - U talionici djela E. BAUMANN-a isprepliću se najrazličitija liturgijska
strujanja. Tu se pronalazi ponešto od onoga što sačinjava bitni elemenat
liturgijskog shvaćanja pisaca kao što su BLOY, HUYSMANS i BARRES. Ako bismo
romanima našega pisca dodali njegovu apokaliptičku viziju kakva je "La
Paix du Septieme Jour" (1918.), došli bismo u napast da tog
uglednog katoličkog pisca smjestimo uz bok onih autora koji su napisali
"La-Bas", "La Colline inspirée"
i "Le Démon de Midi". Dok bismo mogli nazrijeti
izvanredno mjesto koje u tim romanima zauzimaju falsifikati i parodije Liturgije,
posve suprotno susrećemo u "La Paix du Septieme Jour".
Vizije i idealizacije Liturgije tu imaju prvo mjesto; one sačinjavaju uistinu
ravnu ploču toga triptiha čiji središnji dio prikazuje stvarne opise, a
na lijevoj strani pokazuje nam parodije i falsifikate Liturgije.
V. - Sada nam samo preostaje da činjenicama potkrijepimo tvrdnje koje
smo iznijeli i da ih podrobnije razvijemo. E. BAUMANN se zanima za sve religiozne
ceremonije. On nam opisuje Mise zajednice ("L’lmmolé"
- Žrtvovana, pp. 143-145), Mise vjenčanja ("Fosse aux lions"
Lavlja jama), ispovijedi ("Le Fer sur l'Enclume"),
krštenja ("Le Bapteme de Pauline Ardel", pp. 357-343).
Prisustvujemo podjeljivanju Bolesničkog pomazanja (ibid. p. 262), redovničkom
oblačenju (ibid. pp. 168-174) i mnogim drugim jednostavnim obredima ("Le
Fer sur l'Enclume", pp. 293-297). Poezija psalama (ibid. pp.
178-179), himan "De Profundis" ("lmmolé",
p. 105), "La Paix du Septieme Jour",
p. 163), Mise za pokojne
("Le Fer sur l'Enclume", pp. 244-245; 283-285),
"Dies irae" ("La Paix du Septieme jour", pp. 22) i "Časoslova"
(ibid. pp. 139-140; Oficij 8. prosinca, šesta lekcija) izmami mu često na
usnice uklike oduševljenja.
VI. Estetska ljepota ceremonijala privlači ga u prvom redu:
"Daniel nije molio, silno je uživao u tom svetom rasporedu;
neki tako blještav žar obuhvaćao je njegovo srce i njegova osjetila"
("L’lmmolé", pp. 143-144).
Zato ga podsjeća na brojne vitraje francuskih crkava koji neprestano
očaravaju stručnjake na području umjetnosti.
"l sve te osobe bijahu nepokretne, spokojne, poput onih likova
svetaca raspoređenih na vitraju" ("L’lmmolé",
pp. 143-144).
Upravo Liturgija, po njegovu mišljenju, stvara užitak svima Francuzima
i igra neospornu ulogu u odgoju njihova ukusa. I sami tekstovi privlače
našega pisca svojom umjetničkom vrijednošću: "... zajedno, glasno,
recitirali su Gospine litanije, zaustavljajući se pri svakom zazivu da bi
mu pronikli svu uzvišenost... njegova potresna nada rascvjetala bi
se u blještavi snop simbola..." (ibid. p. 287)
Međutim, opisi ceremonija brojem i ljepotom daleko nadvisuju odlomke
koji se sasvim jednostavno povezuju s tom literarnom analizom u čemu je
HUYSMANS bio nenadmašiv:
"Snažne mase crkvenog zbora, izgovarajući Vjerovanje, usporavale
su svoje psalmodiranje na riječi 'Homo factus est'; i sve se glave
prignuše. Njegov se pogled vinu prema zboru isto tako divnom poput kakve
anđeoske statue Danteova Čistilišta. Otraga, iza glavnog oltara, rokete
pjevača presjajivale se žarom kao mnoštvo krila ili košarica ljiljana; tube
su orgulja bljeskale. Sprijeda na sagu, čistom i svijetlom, po kome su prostranstva
poprečne lađe raprostirala nejasne vatre ametista, sučelice je sjedilo šest
svećenika, pokrivenih zlatnim kazulama; iza njih je stajalo sedam svjećonoša;
malo podalje sedam drugih svećenika također u zlatnim misnicama; zatim kardinali
na klecalima; zatim sa strane kanonici u svojim klupama, ramena zaogrnutih
hermelinom, biskupi u ljubičastom, redovnici u bijelim ili crnim haljama,
svećenici i klerici; napokon, u na desnoj strani, pod grimiznim baldahinom,
kardinal-nadbiskup, izmedu dva druga prelata, predsjedao je naginjući svoju
glavu okrunjenu mitrom." ("L’lmmolé", p. 143-144).
Umjesto toga E. BAUMANN često uvodi takve scene u kojima Liturgija
objašnjava junacima njegovih romana njihove vlastite misteriozne osjećaje
koje si sami ne mogu protumačiti. Tako nevjernik Sévérin, u "Le
Fer sur l'Enclume", nakon što je počinio preljub, osjeća grižnju
savjesti i ne može se protumačiti gdje se nalazi izvor tih osjećaja.
Slučajno otvori obred za mrtve gdje pročita: 'Jesu li ti oči putene? Da
li vidiš kao što čovjek vidi pa da tražiš njegovo bezakonje i računaš moj
grijeh,' (p.179). Tako misterij bi osvijetljen."
Pa i pred očaravajućim prizorima prirode taj se pisac ne može, a da
se ne posluži poezijom psalama koja izvanredno izražava takve vrste zanosa.
"Sjećam se jedne rečenice u jednom psalmu. 'Noć je moja
rasvjeta u mom uživanju.' Čovjek koji pjeva taj stih svete miline, imao
je kao i ja, na srcu teških brodoloma. Da li je ipak bio u krivu što se
jednom ovakvom noći opijao?" ("Le Fer sur l'Enclume",
p. 232-233).
I najpotresniji filozofski problemi koji se nameću svakom misaonom
čovjeku nalaze svoje točno rješenje u liturgijskim tekstovima. Sévérin koji
se osjeća pritisnut teškim teretom grižnje savjesti, jer je počinio preljub
i dao život jednom djetetu, u Liturgiji pronalazi čvrstu sigurnost da će
mu zločin biti oprošten:
"David genuit Salomonem ex quae fuit Uriae - Od one
koja je bila Urijina! Među Spasiteljevim precima plod preljuba i ubojstva..."
(p. 284-285).
Ako dakle Otkupljenje može postojati kroz 'bol i grijeh stoljeća',
time je sigurnije da će iz toga proizaći veliko oproštenje."
Zato je redak jedog psalma E. BAUMANN-u protumačio prve neuspjehe francuskog
oružja: "Ostendisti populo tuo dura; vino compunctionis potuisti
nos. To 'vino pokajanja', prerana berba godine, osjećam mu dugo
već u dnu grla gorku kiselost. Ipak, ne mogu očajavati. Čini mi se, kad
bih i samo jedan trenutak vjerovao u poraz, ja bih ga osjetio na sebi."
("La Paix du Septieme Jour", p. 93; "Le
fer sur l'Enclume", p. 245).
Svemirski kataklizmi na koncu vremena, kako on misli, su nepobitna
činjenica, budući da to svom snagom tvrdi sekvencija "Dies irae":
"Jedna jednostavna kitica Dies Irae-e prenosi tu tjeskobu:
Cuncta stricte discussurus. Planeta pod udarom zvijezda bit će sva
razmrskana; Bog će je odbaciti u stranu kao što lončar mete, psujući, krhotine
glinenog lonca koji se rasprsnuo u vatri" (ibid. p. 22).
VII. - Nužno se preoblikuje duhovni život svakoga čovjeka koji
se podvrgao moćnom utjecaju Liturgije: "Pred veličanstvom obreda zaboravlja
bijedu svojih pohota, njime ovladava neka nepromjenjiva, pročišćavajuća
snaga..." ("L’lmmolé" p. 143-145). ".
. činilo mu se (zatim za vrijeme Pristupa) da će nečist čovjek u njemu odmah
umrijeti, raspadala se stara ilovača njegovog grešnoga života... Njegova
nekadašnja neodlučnost, sljepoća tih pohota otkrivala se tako daleko i bijedno
da ih više nije mogao razumjeti..." (ibid. p. 273-277).
Ili pak:
"Xavier je gledao Djevicu s umjetničkom dijademom. Žarko
ju je molio neka ga učini "blagim i poniznim" i neka utvrdi
njegov put. Suze su mu vlažile oči..." ("Le Fer sur l'Enclume",
p. 293-297).
Pa i nevjernici, ako prisustvuju ganutljivim obredima, kao na
primjer oblačenju habita, odlaze potpuno uzbuđene duše:
"Ta jednostavna i ganutljiva ceremonija potresla je Paulinu; bijaše
to nekako kao da bi prisustvovala nekoj krvavoj žrtvi prinosnici."
("Le Bapteme de Pauline Ardel", p.170).
E. BAUMANN tvrdi dakle da Liturgija ima u sebi onu moć da izvodi
obraćenja, koja su francuski današnji pisci i oni prijašnjih stoljeća tako
često bilježili (LANSELOT, LE SAGE, HUYSMANS...)
a
I čitave francuske pokrajine, u kojima cvate liturgijski život,
dostižu visoki stupanj moralnog odgoja:
"Izvor kreposti našega roda nalazi se ovdje, u ovoj liturgijskoj
izgradnji i u ovoj razini poslušnosti. Onaj srž ljubavi prema bližnjemu
u kostima naših ljudi dolazi im od Crkve... Prije Blagoslova, kad se zaorila
iz trideset tisuća grla, "Ave maris stella", zapjevaše
i Albert i Xavier ... Živahnost strofa je odjekivala, silna kao bojni pjev
križarskih ratova..." ("Le Fer sur l'Enclume",
pp. 293-297).
Stapanje klasa i nacionalna svijest, koji se pri tom vidljivo
pokazuju, duguju svoje podrijetlo jedino svečanim pučkim obredima: "Osim
toga, Misa Oprosta" (to je ime tog mjesta) "značila je za njihove
duše više nego jedna župska ceremonija ... taj je dan ponovno u njima
oblikovao jednodušnost jednog naroda" ("Le Fer sur l'Enclume",
p. 284). To je ista činjenica koju je TAINE istaknuo za srednji vijek
u "Origines" (Porijeklo) i koju je HUYSMANS ustanovio
prigodom svoga hodočašća u Lurd.
VIII. - Kako se provodi taj preobražaj duša? E. BAUMANN ga objašnjava
pokazujući nam najskrovitije uglove duhovnog života onih koji doživljavaju
taj preobražaj:
"Dok se kanon odvijao spokojstvom jednog Žrtvovanja, on je svim
silama nastojao biti dionikom u beskrajnoj boli žrtve kao da bi prisustvovao
svojoj stvarnoj agoniji, i kao da bi Čovjek-Bog, iznad oltara, dao se uistinu
pribiti na drvo križa, da on, Danijel, ne bude pribijen kao naknadu za svoje
grijehe..." ("L’lmmolé", p. 273-277).
Međutim središnja točka tog preobražaja čitava čovjeka u stvarnom udioništvu
s Liturgijom jest čin Svete Pričesti:
"Prava duhovna glad nagnala ga je da klekne za euharistijski stol.
Nimalo nije osjećao ono što je nekoć smatrao znakom velike gorljivosti,
drhtajem u očekivanju, jedne gotovo bolne želje. Ponizan, ali jak, muževnog
pouzdanja, približavao se, zbunjujuća sigurnost da sam Bog živi u njegovim
grudima, da je izmiješan s njegovom krvlju, uzdizala je njegovo srce iznad
svega prividnoga, topila ga je poput voska na žeravici. Postajao je, na
nekoliko trenutaka, prema neusporedivoj riječi 'Nasljeduj Krista' sama vatra,
TOTUS IGNITUS..." ("
L’lmmolé", p. 273-277)
(
40).
Mnogobrojna liturgijska razmatranja, koja nalazimo razasuta u djelu
E. BAUMANN-a, povijesni su dokumenat neprocjenjive vrijednosti da se uvjerimo
o stanju religiozne psihologije u Francuskoj u jednom određenom razdoblju
i u jednoj određenoj sredini. Ta razmatranja su nam iznesena s tolikom istinitošću
i iznenađujućom savršenošću. Evo jednog od najljepših:
"U trenutku kada je svećenik prinosio na plitici kruh koji
će netom posvetiti, on," (Danijel) " izgovarao je, zajedno s njim,
ganutljivim poštovanjem, riječi prinosa. Već gotovo dvadeset stoljeća misterij
Kruha, misterij pomiješane Vode i Vina, ponavljao se pred milijunima svetohraništa,
a upravo sada, dok se mise služe posvuda gdje je Krist propovijedan, to
znači po cjelokupnom nastanjenom svijetu, nema jedne minute vremena, nema
jedne točke zemaljske kugle okrenute prema izlazećem suncu koju ne bi ispunila
Gozba koja se jede i pije prema obredima. Vječnost Muke ispunja se u nizu
sati onim neumornim neprekidnim trajanjem žrtvovanja; sva je zemlja opasana
samo jednom svetom bujicom, krv Kristova teče njezinim žilama, i to tako
duboko da je katkada, nezahvalnica, ni ne osjeća da teče." ("L’lmmolé",
p. 273-277; ibid. "On se divio kao nečemu ... razbistrenom.").
Karakter jednog jednostavnog komentara koji često poprimaju ta
razmatranja, ni najmanje ne zasjenjuje blještavilo njihove privlačne i umilne
ljepote. Evo što je on mislio dok se pjevao Magnificat:
"Evo već dvadeset stoljeća ... otkako je jedna siromašna nepoznata
Židovka prorokovala: 'Odsad će me svi naraštaji zvati blaženom...' U ljudskoj
povijesti veće ništa nije bilo i nikada neće biti." ("Le
Fer sur l'Enclume", p. 293-287; Vidi scenu krštenja u "Le
Bapteme de Pauline Ardel", p. 337-343).
IX.- U općem pregledu koji smo dali o E. BAUMANN-u, aludirali smo na
različite manifestacije liturgijskog utjecaja na francuski narod. Taj nas
romanopisac uvodi u unutrašnjost stanova francuskog građanstva gdje prisustvujemo
zajedničkom moljenju psalama i litanija ("L’lmmolé",
p.105 i 287). Pa i oni koji nemaju nikakvo vjersko uvjerenje, moraju se
u svom životu sudariti s manifestacijama religiozne prirode: prvi šok izaziva
u njima osjećaje nezadovoljstva i "zlokobne mrtvačke misli..."
("Le Bapteme", p. 7 i 14). Sve se mijenja, ako imaju
prilike uputiti se malo dublje u liturgijsku znanost. Snažan primjer takvog
razvoja nalazimo kod Pauline Ardel, koja se od potpunog neznanja uzdiže
do vrlo širokog shvaćanja Liturgije.
X. - Što se tiče seoskog puka to varira već prema regijama. Tako
u Bretanji žene pjevaju: "bez misala ... stihovi psalama izmjenjuju
se s korom svećenika i seljaka..." ("Le Fer sur l'Enclume",
p. 293-297). One koje bijahu "naučene na latinsku psalmodiju liturgija,
započinju po taktu stihove Gloria..." (ibid. pp. 283-284).
Liturgijski zanos utaplja u tome "njihove duše kao neki
proišćavajući val" (ibid.) i usredotočuje "u nekoliko riječi pradavno
postojanje te zemlje." (ibid.). Liturgija pripada nacionalnoj riznici
francuskog naroda, tu je misao već izrekao MAURICE BARRES, jer on prigodom
jednostavnih ili svečanih obreda iznosi čitavo svoje srce sa svojim patnjama
i radostima:
"Oni su tamo dolazili kao molitelji, pružati ruke pune milosti,
otvorene kao u čudu, za kišu blagoslova. Prikazivali su kao svoj prinos
Djevici Folgoat-skoj Bretanju poniznu i odanu..." (ibid. p. 284).
Ili pak:
"Takva je u Bretanji snaga kulta pokojnih da ni sami nevjernici
ne izbjegavaju misu pjevanu na spomen unesrećenog sudruga; a poslodavac,
ovdje, nije više poslodavac, nego otac..." (ibid. p. 244).
Liturgija si je prokrčila put sve do najdubljih dubina njihove duše
tako da liturgijske uspomene iskrsavaju čak i kod onih koji su daleko od
svakog vjerskog života. Tako i Sévérin kaže posve spontano, ("Le
Fer sur l'Enclume", p. 56), našavši se pred utopljenicima:
"Requiescant in pace" (V. pp. 178-179 na "De Profundis").
XI. - Budući da Liturgija zauzima tako široko mjesto u djelima
ovoga pisca i prema tome i u samom njegovu duhovnom životu, nije ništa čudno
ako u njegovom stilu susrećemo mnogobrojne aluzije na svete tekstove
ili različite obrede. Tako usporeduje "mnogostruku buku radionica"
s "tihom glazbom, liturgijom rada" ("Le Fer sur l'Enclume",
p. 311).
Vrh tornja jedne crkve ističe se "ponosom liturgijskim i feudalnim
poput jednog Magnificata koji se vinuo u nebesa (lbid. p. 279-280).
a[1]Prelatov
govor posjedovao je "intonaciju starog kantora koji pjeva psalme Kompletorija"
("
L’lmmolé", p. 52). Određena mjesta nisu ništa
drugo nego liturgijski izrazi ukratko sažeti koji se trude riječima izreći
manifestacije duhovnog života pokrenute prije svega upravo mistikom:
"Tako, upleteni među zemlju i posvećene životinje, Blaženici
pjevaju poput psalama svoje razmatranje i istodobno dušu uzdižu pred
lice Gospodnje", (Ps 26, 9) "kojeg poznaju kao što on njih
pozna, u središtu miline svoje," (Ps 26,4), "koji ih steže i odnosi
u
proždrljivi ponor" (Ps 55, 7). "Uživaju i znaju da njihov
užitak neće imati kraja. Ljube više nego što razumiju; njihova želja za
razumijevanjem i ljubavlju sve je veća što se oni više zasićuju." ("
La
Paix du Septieme Jour", p. 256)[1]
b
XII. - Sve što smo do sada istakli kod E. BAUMANN-a nalazi se više-manje
razvijeno kod velikog broja francuskih pisaca. Međutim kod njega valja uočiti
jedan element koji bismo teško mogli pronaći drugdje u Francuskoj.
c[1]
Radi se o idealiziranju liturgijskih motiva. Knjiga "
La Paix
du Septieme Jour" (1918.) koja izvanredno izlaže liturgijske
vizije - makar nije roman i prije bi ju trebalo smjestiti u granice teologije
- sadrži u sebi tu zanimljivost da nam, i daleko bolje negoli njegova druga
djela, daje više točnih naznaka o širini liturgijskog poznavanja kod svojeg
autora:
"Vjernici su, u jedan glas, zapjevali 'Ave verum corpus';
najudaljeniji u toj golemoj procesiji promatraju u isto vrijeme sjajne Prilike
i Isusa onakvog kao u trenutku Posljednje Večere, ali u vidljivoj slavi.
Njegov plašt svećenički je crven kao umočen u posudu mučenika; svjetlo,
od koga bi umrle, kad bi ga mogle doseći, nečiste oči, njegovu dugu kosu
kruni kruna načinjena od isprepletenog trnja; anđeli nad njegovom glavom
uzlaze i silaze; sveti Mihael je naklonio prema hostiji, poput baldahina,
svoju zastavu na kojoj podrhtava cvijeće ljiljana i žarkog zlata; a iza
njega polagano stupa dvadeset i četiri starca mašući s dvadeset i četiri
kadionice napunjene mirisom molitava" (p. 234; vidi p. 210, 235 i 255).
Izvanredna i neslućena ljepota pojedinih odlomaka koji su tu
obilno razasuti nikada ne bi mogla biti izmišljena da E. BAUMANN nije pronašao
osnovnu građu u slavnim nedjeljnim službama Božjim, u svetim pjesmama i
u crkvenoj umjetnosti koja se sada u Francuskoj njeguje s mnogo Ijubavi
i istinskim razumijevanjem.
XIII. - Izuzmemo li HUYSMANS-a, uistinu u Francuskoj ne nalazimo
nijednog romanopisca koji bi imao tako široko liturgijsko znanje. Ono se
podjednako tiče i obreda i svetih tekstova; znanstveni komentari naizmjenično
dolaze u njegovim djelima s lirskim zanosom: svi zajedno oblikuju jedinstveni
hvalospjev Liturgiji.
a[1]
Vjerski obredi u prirodi pod vedrim nebom, ("
Le Fer sur l'Enclume",
p. 293-297) i "
Te Deum", koje pobjedničke vojske pjevaju
("
Le Bapteme de Pauline Ardel", p. 97) mogli bi
pripadati CHATEAUBRIAND-ovu ukusu (
Génie). Naše misli se same
od sebe okreću prema HUYSMANS-u kad E. BAUMANN govori " o osobama ...
nepokretnim ... poput svetačkih likova porazmještenih na vitraju" ...
ili kad tvrdi da je "ozbiljna poniznost" jednog "Sanctus-a
u punom gregorijanskom pjevu pilagođena pokorničkom polumraku katedrale"
("
L’lmmolé", pp 143-145). Čak i vizija katedrala,
koje se uzdižu k nebesima, čini se kao da je doslovno preuzeta od HUYSMANS-a.
b
XIV - Ipak treba postaviti ishodišnu točku između liturgijskog shvaćanja
ove dvojice romanopisaca: taj će nam postupak pomoći da uđemo u samu bit
E. BAUMANN-ove individualnosti, s obzirom na liturgijsko gledanje. Daniel
u "L’lmmolé" nastoji prilagoditi svoj duhovni život
životu Liturgije: on u mjesecu prosincu obavlja devetnicu da bi postigao
majčino ozdravljenje. Ipak u svoj toj analizi ne nalazimo ni spomena na
Došašće, iako bi se činilo nužnim da nam kaže kakav bi naročiti utjecaj
takvo razdoblje očekivanja i nade inače moralo vršiti na tu dušu. Prisustvujući
Misi na blagdan Bezgrešnog Začeća (p. 143-145) Daniel se ograničava da shvati
izvanjske utiske ne obraćajući pažnju na tekst poslanice ili na druge odlomke
službe Božje toga dana. BAUMANN posjedujući široko liturgijsko znanje, koje
uostalom nije onako sistematsko kao HUYSMANS-ovo, nema umjetničke intuicije
kao ovaj zadnji. Za njegove junake pa i za slavnoga pisca Liturgija je manje
skup nepobitne umjetničke vrijednosti, ona je riznica dubokih misli koje
nam tumače misterije života i usmjeruje naše postupke na dobar put. Nije
ništa čudno što vjerski život njegovih junaka ne ide uvijek usporedo s liturgijskom
godinom. Kada se savršeno koristi filozofskim elementima, on im podlaže
svoje estetske misli.
Međutim proučavajući pažljivo njegova djela možemo se uvjeriti o evoluciji
koja je nastala u njegovu liturgijskom shvaćanju: silno je uočljiva razlika
između umjetničke intuicije autora "L’lmmolé" i
autora "La Paix du Septieme Jour". Trebe samo usporediti
analizu života redovnica u "L' Immolé" (p. 273-277)
s parabolom o pet djevica u "La Paix du Septieme Jour"
(p. 130-136) da se uvjerimo kako je autor u tom vremenskom razmaku
obogatio svoje estetsko poznavanje Liturgije a da nije prestao posvećivati
svoje glavno zanimanje filozofskom značenju.